Suite à l’invitation du collectif Solvo, je suis intervenu dans ce podcast « A qui profite la tech for good » pour parler de fracture numérique.
« L’exclusion numérique, une réalité qui concerne 13 millions de personnes en France et 7 à 8 millions de personnes en très grande difficulté. Problème d’équipement, difficulté d’accès aux services publics en ligne, plateformes trop complexes à utiliser… Pauline Bandelier s’est intéressée à la réponse de l’association We TechCare, dont l’objectif est d’amener les personnes en fragilité vers l’autonomie numérique. Fondée avec le soutien de Google et de la Fondation SFR, l’association a également reçu des financements de la part du ministère des Solidarités et de la Santé.
Cet épisode nous emmène à Schiltigheim, dans le Grand Est, à la rencontre de l’entreprise d’insertion Humanis, soutenue par We TechCare dans le cadre d’un programme d’accompagnement des salariés en insertion. Avec en tête un questionnement : comment répondre aux besoins de chaque personne dans le cadre de formations collectives et normées, et comment toucher les publics les plus en difficulté ? »
Avec :
- Linda Salli et Johnny, salariés en insertion chez Humanis
- Khamran Yekrangi, directeur d’Humanis
- Jean Deydier, fondateur de We TechCare
- Jean-François Lucas, sociologue spécialiste de la ville numérique
- Karine Gentelet, professeure agrégée de sociologie à l’université du Québec et titulaire de la Chaire de recherche intelligence artificielle et justice sociale (Abeona – ENS-PSL – OBVIA)
Ecouter le podcast : https://wetellstories.eu/oeuvre/a-qui-profite-la-tech-for-good/