Petite découverte du jour et coup de cœur de la semaine. Nul besoin de décrire le travail de l’artiste azerbaïdjanais Rashad Alakbarov, les images ci-dessous suffisent à en communiquer toute la poésie. A partir de simples objets, de lumières idéalement placées, la ville se forme par un jeu d’ombres.
Ce qui me plait particulièrement, c’est la nature des matériaux, les possibilités d’agencement eux entre et donc de la modularité de la ville représentée. Il y a dans cette production un imaginaire assez puissant qui se joue entre les différents plans sur lesquels l’artiste peut jouer.
Facebook : Groupe Facebook